Romans

Black Mamba de Blanche Monah

Ce livre n’est pas à mettre entre toutes les mains et on trouve entre ces pages tout ce que la Dark romance a de plus extrême. Certaines critiqueront l’application du genre, elle reste néanmoins dans les créneaux anglo-saxons.

Les relations entre les personnages sont dures, sans concession. Le héros est aussi trash que l’héroïne est pure. (Je ne parle pas de drogue, même si on évolue dans le milieu des gangs).

Ici, Blanche Monah s’affranchit des limites données par les codes habituels, mais elle s’aventure au plus loin au cœur de la violence : celle des bandes organisées des ghettos américains dans leurs pratiques, et des fractures liées à l’enfance, aussi. Ça, je peux le spoiler, puisqu’on l’apprend dès les premières pages : André est un enfant-soldat rescapé du Zaïre. Formaté dès son enfance, il ne connait que la guerre et ses dérives. Pas de sentiments, mais possession, domination, terreur, ce sont ses instincts, c’est ainsi qu’il a survécu et il ne sait pas agir différemment.

Rebecca est tout autre, douceur, innocence, superficialité même, insouciance en tous les cas. C’est par le biais d’une vilaine arnaque montée par le père et pour laquelle André, Black Mamba, va réclamer réparation à sa manière, que leurs univers vont entrer en collision.

C’est une dark erotica, voire, un erotic thriller, on plonge loin dans le genre et on en ressort sonnée. On s’aventure loin dans la noirceur et la romance, si elle se forme, se fait d’une manière assez inhabituelle. Certaines ne le verront pas ainsi, d’autres si. J’ai trouvé la fin plus originale et en soi peut-être même plus crédible que celle qu’on observe dans d’autres dark, qui ont souvent manqué de réalisme à mon goût. Je suis un peu sibylline, j’avoue, mais le moindre indice à ce sujet ferait surgir un spoil impardonnable, alors, j’en resterai là dans mes propos.

En bref : je vous conseille très chaudement ce roman si vous aimez la dark romance, plus précisément la dark erotica ou le dirty realism. Je m’autorise un ou deux romans de ce genre dans l’année, comme on s’accorde un tour de grand huit. Je n’ai franchement pas été déçue. Mais attention, c’est de la dure ! Vous voilà prévenues. Vous n’avez pas peur de l’obscurité, mon avis vous a convaincu ? Toc, toc, toc… frappez à la porte de Blanche Monah, et laissez-vous guider dans l’univers de Black Mamba !

Rappel du résumé :

Ruinés. Menacés de mort. A la merci d’un chef de gang brutal et sans pitié.

En une soirée, la façade de vie banale et parfaite de Rebecca s’est écroulée, révélant les dettes pharamineuses et les malversations de son père. Pour humilier ce dernier et se rembourser de sa fortune perdue, Black Mamba, leader du gang des BPS, va s’emparer de la dernière chose de valeur qu’il possède : sa fille.
Et si briser cette princesse blonde représente bien plus à ses yeux qu’une simple démonstration de force, personne ne le saura jamais…

Pardonner est parfois impossible.

Lien Amazon par ici : https://www.amazon.fr/Black-Mamba-romance-Blanche-Monah-ebook/dp/B09VVP11MC

Policier

Booktour – « Celle qui ne pardonnait pas » Christophe Vasse

Résumé

Gabrielle Berthelot, capitaine de gendarmerie, se remet tout juste de la mort de son coéquipier Axel, lors d’une descente. C’est alors qu’on lui impose un nouveau partenaire : Marc.

D’abord réticente, elle est bien obligée de coopérer lorsqu’une jeune fille est assassinée. Bientôt d’autres meurtres sont commis dans le milieu étudiant de Toulouse selon le même rituel : outre une curieuse mise en scène antique, le « tueur aux cartes » envoie après chaque meurtre une carte composées d’indices sur les filles qu’il a assassinées.

Le duo devra faire preuve de tout son talent pour identifier l’assassin avant qu’il ne choisisse sa prochaine victime…

Les personnages :

Si vous ne connaissez pas encore Christophe Vasse, attendez-vous à être surpris. Ses personnages sont de véritables anti-héros, même s’ils ne manquent pas de charisme. Je me suis beaucoup identifiée à Gabrielle : forte, mais blessée, obstinée, avec… un sacré caractère ! Marc est tout aussi réaliste et sa personnalité habilement ciselée. Toute ressemblance avec une personne existant ou ayant existé ne serait pas, à mon avis, qu’une simple coïncidence. Beaucoup s’y retrouveraient. D’autant plus que ce dernier se débat avec des problèmes de couple, des soucis de cœur et des remous existentiels qui ont rarement épargné qui que ce soit. Il n’en est pas moins raisonnable… mais face à une Gabrielle qui peut se montrer touchante et fragile lorsqu’elle baisse la garde, saura-t-il garder le cap et passer outre l’ambiguïté de ses sentiments ?

Les personnages secondaires ne sont pas en reste, ils créent une atmosphère parfaitement crédible et un environnement riche autour des principaux protagonistes : que ce soit Abel, l’ami éploré ravagé par la mort de la première victime qui très vite laisse s’exprimer son besoin de justice, Dobey, le colonel intransigeant, mais bienveillant, ou encore Laura, Franck et les jumeaux, famille d’adoption de Gabrielle qui constituent sa base stable lorsqu’elle perd pied, absorbée par sa rancœur, quand sa part brisée refait surface.

En bref, un vrai bonheur que de s’attacher à chacun d’eux.

L’intrigue

Je vais faire ma maline et vous dire qu’il est rare que je ne la perce pas assez vite, mais là, j’ai été prise au dépourvu par les retournements de situation et des pistes soigneusement brouillées. La clé est du mystère est d’une incontestable originalité (l’auteur a fait des recherches !) et je ne vous cache pas que je n’ai pas réussi à prédire le dénouement. Sur aucun point du reste et pas seulement sur l’aspect policier. Et ça, j’ai aimé !

L’auteur a misé sur une narration au présent, un parti judicieux qui diffère de ses précédents écrits : c’est plus immersif et le récit gagne en addictivité ! On tourne chaque page sans jamais se lasser, et le suspense est au rendez-vous : impossible de lâcher ce page turner !

En bref

Un roman qui se déguste avec plaisir, une écriture fluide qui promène le lecteur d’une manière déconcertante, des personnages attachants qui vous emportent dans un récit où vous avez l’impression d’être des leurs. Il reste une impression flottante d’imprégnation lorsqu’on a refermé le livre, comme si on ne parvenait pas tout à fait à le quitter. C’est le propre des coups de cœur et je ne saurais que vous conseiller de lire ce roman pour vous laisser emporter à votre tour !

Merci à l’auteur pour ce service presse et ce délicieux moment de lecture !

Romans

Mon avis sur une adorable romance saupoudrée d’interdit : Perfect Boss de Gwen Delmas !

Chronique Perfect boss – Gwen Delmas

Editions Addictives

Date de sortie : 14 février 2018

Romance contemporaine – 624 pages

Résumé :

Carla est une ancienne championne olympique devenue journaliste sportive. Quand la chaîne de TV où elle est chroniqueuse est rachetée, elle se retrouve à devoir obéir aux ordres de Tom Andres, le golden boy des médias. Sourire impeccable, corps sculptural et sexiness irrésistible, Tom a tout pour plaire, et Carla doit bien s’avouer que son boss ne lui est pas indifférent. Se laissera-t-elle séduire ou au contraire fera-t-elle tout pour résister aux charmes de Tom ? Et lui, est-il vraiment sincère ou a-t-il un objectif moins innocent derrière la tête ?

Mon avis :

J’avais ce roman depuis longtemps dans ma bibliothèque et j’avais promis à Gwen de me lancer dedans. À vrai dire, je connaissais l’auteure bien avant : sa personnalité est un régal, sa bonne humeur, un virus hautement contagieux. Je me disais qu’indubitablement, sa plume ne pouvait être qu’à la hauteur… je n’ai pas été déçue.

Les personnages :

Sont assez complémentaires sans trop de contrastes et surtout, sans stéréotypes, chose que je déteste. J’aime les personnalités troubles, sombres, complexes. Pas d’obscurité ici, certes, mais pas mal de jeux interdits et de faux semblants. Au départ, la trame me semblait assez simple, l’intrigue plus ou moins classique : une employée, un patron gentil, un patron méchant, quelques collègues hauts en couleurs et hop ! On y va. J’étais un peu perplexe du coup, parce que bon… pour m’occuper avec ça sur 624 pages, moi qui suis plutôt exigeante, ce n’était pas gagné. D’ailleurs, de prime abord, on rentre vite dans le vif du sujet. J’aurais pu me dire… allez, OK, maintenant, ça va être comme dans 80% des romances contemporaines, du « Je t’aime, moi non plus » jusqu’à l’orgasme final. Oui, je sais, c’est un peu réducteur, mais ce n’est pas une critique du principe, dans la mesure où ce qui fait la différence, ce sont les causes, le pourquoi de ce phénomène en balancier d’attraction / répulsion. Et là, vient l’instant critique ; en ce qui me concerne ça passe ou ça casse.

Justement, Carla, notre héroïne, va tomber sur un os. Ah ! Un peu d’interdit. Notre charmant patron a une vie sentimentale compliquée, une image savamment marketée, une pression médiatique qui le tient par les c… euh, pardon, à la gorge. On assiste alors à une sorte de mouvement ciseau assez contradictoire. La personnalité solaire du prétendant alpha se révèle, tandis que le sa figure repoussoir, son alter ego de prétention ou d’arrogance, perd de sa véhémence pour gagner en humanité. Ainsi de façon très surprenante, on se prend à s’attacher à Stephen. Il est braque, autoritaire … vraiment ? Qui aime bien châtie bien, s’il était attentif, soucieux ? Voire, carrément attentionné ? Et les images se croisent, sans comparaison directe, d’où les 600 et quelques pages où tu t’amuses à cracher ton ironie sur l’outsider de départ, pour te délecter de l’adorable Stephen. Sans vous mentir : j’y ai passé la moitié de mes nuits ! Se confrontent ici charisme et exubérance, sexitude et virilité (Croyez-moi, les deux ne font pas toujours le même effet, on peut déborder de testostérone et ne pas être très attractif…). Bref, on a là un triangle amoureux qui se met en place de manière insidieuse sur fond d’interdit, parce que l’un de nos protagonistes à tout de même un sacré fil à la patte.

« Et Carla dans tout ça ? » allez-vous me dire… Je l’ai trouvée très courageuse et en même temps, assez naïve. Ou ne voulait-elle pas voir ? Parce que, bien souvent, on fait l’autruche aussi. Je ne suis pas du tout comme elle, j’ai donc dû faire un effort pour ouvrir mes yeux et mes chakras pour la comprendre et ne pas l’étrangler. Mais ce n’est pas un point négatif. J’ai parfois vu des chroniqueuses enlever un point (Voire plus !) à un roman si elles ne s’identifient pas à l’héroïne : je pense tout au contraire, qu’on doit apprendre, comme dans la vraie vie, à cerner l’autre. Cela permet de se comprendre soi-même. Ainsi, j’ai fini par me glisser dans la tête de la jeune femme, voyage dépaysant s’il en est, Carla m’a finalement séduite. Je suis ravie d’avoir surmonté cet écart de psychologie et je me dis que c’est une chose que la lecture peut encore nous apporter : tolérer, voire, apprécier l’autre là où il diffère de ce nous sommes.

En bref :

Un démarrage en douceur pour une romance au retournement inattendu, qui nous entraîne vers une addiction progressive, façon manège à sensations. Des scènes érotiques teintées d’interdit au piment subtil et parfois étonnantes. Du reste, j’ai trouvé dans ce roman une étreinte intime très particulière, à la fois brève, sobre et fulgurante qui m’a laissée à quia, stupéfaite et possédée.

Dans ce roman, dans son ensemble, j’ai retrouvé Gwen : sa façon de te raconter des histoires n’a d’égal que sa capacité à tenir des discussions in-ter-mi-nables, mais fabuleusement délicieuses, chargées de douceur, de joie, d’enthousiasme… Elle te révolutionne le moral, en 24 heures, tu peux jeter à la poubelle tes sédatifs aux plantes, ton magnésium anti-stress, ton antidépresseur. Elle te repeint la vie. Sa plume est comme elle : simple mais efficace, directe mais douce, lumineuse mais nuancée.

Et voilà, ce qui m’a attendrie parmi tout ce qui fait le charme de ce roman : il est furieusement authentique. J’ai été conquise par la partie sensible, celle qui permet de toucher du doigt l’auteure attendrissante et pleine de loyauté qui se cache derrière ces lignes.

Forcément, je ne pouvais qu’adorer…

Dark romance, Romans

Dark shadow – True red Irish stories

C’est bientôt la sortie de Dark Shadow, le 16 mai !

Il est donc temps pour moi de vous présenter ce roman !

Dark shadow est né d’une commande. Un ami éditeur (Yoann Dolomieu – Pandorica) qui lançait sa collection numérique en dark romance avait besoin de titres pour étoffer son catalogue. J’ai mis du temps avant de trouver l’inspiration. J’avais envie d’écrire autour d’un conflit, d’une guerre, une histoire qui parlerait de fraternité et de patriotisme. Mais je ne tenais pas ni mon guerrier ni ma guerrière.

Et puis, par un mercredi après-midi de mai, comme celui-ci, je me suis assise dans le fauteuil du petit salon de l’étage pour lire, les écouteurs vissés sur les oreilles.

Et là, je suis tombée sur un titre gaélique fort connu : Ann Innis Aigh (L’île heureuse), écrite par Angus MacLellan. Et là, l’émotion est venue. L’émotion d’abord, brute, sans visage ni parole. Des retrouvailles, de la passion et de la souffrance : voilà ce qui m’est venu au cœur. Alors très vite, j’ai posé les premiers mots du premier chapitre de Dark shadow… Sean et Jenny étaient nés. Comme une partie de mon cœur est resté en Irlande (À tous les sens du terme), c’est là bas, tout naturellement, que je suis partie.

Qui dit Irlande, dit lutte, indépendance, héroïsme, mais aussi clans et affrontements. Très vite, l’idée de deux personnages de camps opposés m’est venue. Une sorte de Roméo et Juliette Irlandais contemporains en somme. Alors j’ai enchaîné les titres, avec la boule au ventre et la gorge nouée :

— Down By The Sally Gardens – The Rankin Family

— The Cranberries – Zombie

— Paddy and the rats – Pilgrim on the road

— Moriarty – Private Lily

Les mots se sont déversés, les chapitres se sont enchaînés, l’écriture était rapide, fluide et facile. J’ai regardé des séries, lu des articles, des essais, regardé des heures et des heures de reportages.

J’ai bouclé la rédaction en août, elle aura duré quatre mois, pendant lesquels j’ai beaucoup écrit la nuit, très peu dormi. À ce jour, Dark shadow est mon seul roman nocturne ! En fait, cette histoire n’est pas un roman : c’est un cri.

Il est sorti en octobre, sous forme d’épisodes avec pour nom « Red stories » qui est en fait le titre que je donnais à la saga, pensant écrire l’histoire de la fratrie des Flannighan : Jennifer, Kieran et Patrick. En décembre, la demande d’une version intégrale et d’un format broché s’est faite de plus en plus forte de la part des lectrices. Comme Pandorica ne disposait pas des droits, mais juste d’un mandat de publication, je me suis décidée à les céder.

J’ai contacté trois grandes maisons d’édition. Une ne m’a pas répondu. Les deux autres ont accueilli le manuscrit avec enthousiasme. City fut la première des deux à me faire une proposition que j’ai acceptée aussitôt.

Et Red stories est devenu Dark shadow.

Nouvelle couverture, nouveau titre, nouveau départ.

Le 16 mai, il n’appartiendra qu’à vous d’écrire la suite…

via Mes romans

Romans

Chronique : Black romance de Molly MCAdams chez Eden Collection (City)

Je vous l’avais promis, (Notamment à Soumya Cassier – Les étoiles des Blibliothèques- ) voici mon retour de lecture sur Black romance…
La couverture, le titre m’avaient attiré, puis les avis m’avaient intriguée : dark, pas dark ? Il fallait que je me fasse mon propre avis.

Voici le résumé :

Quand elle se réveille, Briar se retrouve dans une pièce obscure, nue et ligotée. Quelques jours plus tôt, sa vie était encore parfaite, elle était même sur le point de se marier.

L’homme qui l’a enlevée, Lucas, est le diable incarné. Il en a la beauté, les yeux remplis de péchés, un sourire ténébreux… et attirant. Un diable d’une beauté si cruelle et dévastatrice que sa simple présence instille la peur.

Mais sous cette apparence terrifiante, se dissimule aussi un homme meurtri et hanté par un passé douloureux. Malgré elle, la jeune prisonnière commence à éprouver une troublante affection envers Lucas. Et peu à peu, se développe une passion contre nature. Une passion entre lumière et ténèbres…

De qui ça parle ?

Briar « Blackbird » (Traduisez, le merle) surnommée ainsi parce qu’elle chante (Il y a une bonne raison que je ne dévoilerai pas ), enlevée par « Le diable » Lucas, soumis à la pression de son infect mentor William, et aidé par un chauffeur / garde du corps dont j’ai trouvé qu’il faisait un peu benêt…

Mon avis :

Aaah ! Je vous entends déjà, crier à la publicité mensongère… regretter un « Début prometteur », qui annonçait de la « vraie dark », façon Anna Zaires ou CJ Roberts… « Oh ! Un enlèvement, un tourmenteur »…
Gosh ! Dois-je encore sortir le fouet pour vous rappeler que la DARK EROTICA ce n’est pas LA DARK. Ce serait un peu comme réduire le père noël à son bonnet, et retrouver une sainte Nuit un type flasque, pâle et bedonnant, en train de déposer des cadeaux au pied de votre sapin, vêtu de son seul couvre-chef. (Beurk).
Or, ce roman réunit bien les éléments de la dark romance, tel que le genre est répertorié aux États Unis, plus connaisseurs et diversifiés en la matière que nous ne le sommes et ce, depuis fort longtemps.
Un enlèvement, certes, qui fait penser à une dark erotica. Un contexte dont on s’éloigne assez vite, tout en restant dans un univers assez glauque, de polygamie sectaire organisée en un gang élitiste mafieux, qui s’adonne au trafic de drogue et d’êtres humains. Sympa non ? 
Pas de viol (Mais des galops d’essai), et un couple autour duquel s’épanouit bientôt une romance qui, à compter du deuxième tiers du livre, tend davantage vers un romantic suspense fort bien mené. Mais n’oublions pas que le Romantic suspense est assimilé à la dark…
Alors pour faire une synthèse, que dirais-je ?
Qu’il s’agit d’une romance sombre (Une dark quoi…) Pas forcément interdite mais qui éclot de façon non conventionnelle dans un milieu difficile et illicite. Du suspense, de l’érotisme (agréablement maîtrisé) et une intrigue qu’on ne lâche pas jusqu’à la fin.

Et l’auteure ?

Mis à part un « Gros manche » dans une scène qui m’a fait beugler un « Ah ! Non » déçu comme si on venait de rater la transformation d’un essai décisif au Rugby, rien à redire. J’ai aimé la prose autant que le rythme. Rien de complexe à vous nouer les méninges, mais pas de quoi s’extasier sur une citation non plus. Sobre et efficace, quoi.

En bref :

Une dark qui s’apparente davantage au romantic suspense, soft et à la portée de toutes les lectures. Est-ce que c’était bien ? Absolument. Sans aller jusqu’au coup de cœur toutefois, je lui mettrais bien un bon 4,5 sur 5. Il paraît que c’est une série qui porte sur différents personnages, alors je me frotte les mains en attendant de voir la suite. J’ai lu le format
numérique et de satisfaction, je cours m’acheter le format broché. Irrattrapable que je suis…. Mais conquise

Vers le site de l’éditeur :

https://www.city-editions.com/EDEN/index.php?page=livre&ID_livres=838&ID_auteurs=440

Pour retrouver le roman sur Amazon, c’est par ici :

Romans

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Dans cette partie je vous parlerai de moi, de nous et d’un peu tout.

Juste pour le plaisir de partager avec vous mes pensées, mes humeurs, mes opinions aussi, mes combats parfois !

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